La pollution marine reste l’une des principales causes de la dégradation de notre environnement ? Depuis plus d’une vingtaine d’années, des milliers d’écologistes s’investissent corps et âme pour lutter contre ce fléau, mais pour l’instant leurs revendications restent sans suite. Que pourrait-on faire pour les aider ? Par où commencer ? Tels sont les problématiques liées au thème de cet article.
Réduire l’utilisation de plastiques à usage unique
Dans l’océan, la prolifération des déchets plastiques à usage unique affecte la santé de nombreuses espèces marines. En effet, ces détritus (sacs poubelles, gobelets, ustensiles de cuisine, bouteilles d’eau, mégots de cigarettes, etc.) sont tellement nombreux qu’ils s’échouent facilement sur les côtes terrestres (comme en Thaïlande, en Indonésie…). Aussi, la meilleure façon de lutter contre ce fléau est d’utiliser des versions réutilisables de ces produits. Non seulement cette action va avoir un impact négatif sur le chiffre d’affaires des entreprises productrices de plastique, mais cela va les inciter à proposer des alternatives plus écologiques pour les consommateurs.
Recycler
À l’heure actuelle, seuls 10% des plastiques utilisés dans le monde passent par le processus de recyclage. C’est très peu par rapport aux milliards de déchets plastiques qui se baladent dans la nature chaque année. Actuellement, les écologistes et les ONG spécialisées dans l’environnement pensent qu’il faut oser interpeller les gouvernants sur l’importance de ce procédé, afin qu’ils puissent adopter petit à petit une politique verte. Ce n’est pas évident pour tout le monde, mais c’est le premier pas qui compte. D’ailleurs, l’Accord de Paris, signé par plus de 180 pays en 2015, est une source d’espoir, et marque un tournant majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Nettoyer les plages
Les responsables au niveau de différentes villes et communes sont déjà à pied d’œuvre et incitent les gens du monde entier (via les réseaux sociaux, la télé ou la radio) à se joindre à eux pour participer aux nettoyages des plages les plus polluées. D’une part, c’est un moyen pour tout un chacun de contribuer à l’entretien de Dame nature, et d’autre part, cela pourrait faire ouvrir les yeux aux gouvernements sur la gravité de la situation actuelle.
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